vendredi 28 août 2009

j'ai rien à me mettre : acte 3

Voilà, j'ai donc fini ma robe à pois (si ! ce sont des pois !) pour l'acte 3 du j'ai rien à me mettre.

Cette tunique-robe c'est donc une 13 du livre 1 (voir JCA). Mais bêtement, j'avais pensé pouvoir la mettre sans fermeture éclair. Je dois avoir une grosse tête parce que ça passait difficilement. Qu'à cela ne tienne, je rajoute une ouverture devant. ah oui ? oui, mais en fait ce n'était pas très joli. Je l'ai donc sans aucun scrupule retournée et j'ai mis le devant derrière.

Résultat : un devant assez sympa avec un col très haut et très carré, et un derrière avec un col ouvert (beaucoup plus droit en fait que sur cette photo où la robe n'est pas repassée) et une poche ! bien oui, puisque ma poche était devant . Bref, j'ai donc une poche derrière un peu penchée parce que calculée pour mettre ma main en biais devant (vous suivez encore ?). Du coup, sauf à avoir l'air très affectée, je ne vais pas souvent y mettre la main. Ce n'est pas grave, c'est un détail amusant !

J'oublie de dire qu'elle est très agréable à porter, et que ça doit certainement beaucoup à ce super tissu lisboète. Maintenant, je dois réfléchir à l'acte 4 : vestes, gilets...c'est l'automne !

K&b

la plage, mon sarouel et moi...

Vous m'excuserez si je n'ai pas d'autres photos que celles prises sur Ko Phi Phi (une superbe île du sud-ouest)...
Allez, j'avoue tout, j'ai fait au moins 25 photos là-bas avec le sarouel au bord de l'eau juste pour frimer au retour sur le blog !

Revenons à ce sarouel, après le bleu-gris (j'insiste), je me suis un fait un sarouel kaki, en coton très très fin, idéal pour la température thaïlandaise. J'ai finalement laissé le bleu à la maison et ne suis partie qu'avec celui-ci.

Même modèle que le premier, d'après un patron de Parfum du ciel, mais avec une fermeture éclair de 10 cm au lieu de 20 sur le côté. Je pensais que cela le ferait tenir un peu plus haut sur la taille, mais en fait quand le tissu se détend le sarouel retombe sur l'os iliaque (mon os préféré au passage). J'ai soigné les finitions pour ne pas être gênée par des fils et par la crainte que tout l'assemblage ne se défasse en pleine rue. Au passage, je trouve que je progresse en ce moment justement sur cette question des finitions et je me sens un peu plus à l'aise avec ce que je couds et ce que j'offre.

Allez encore une petite photo pour le plaisir !

Bon et au fait, il vous plaît ce sarouel, version plus fluide et plus près du corps ?

K&B

jeudi 27 août 2009

Vieille acariâtre

Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit un message sur ce blog. C'est parce que je n'ai pas tellement eu le temps de prendre les aiguilles pendant ces dernières semaines.

La dernière fois que tricoté, il y a déjà presque un mois, c'était en public. Quand j'ai raconté à la maison que j'avais bien avancé mon tricot pendant la conférence d'un illustre philosophe et académicien, on m'a dit que je devenais une vieille acariâtre, la honte de la famille !

Voilà comment on me voit. Mais ce n'est pas pour ça que j'ai laissé tomber les aiguilles, je compte bien m'en remettre bientôt. Au moins pour finir ce "tricot de la honte", que j'espère pouvoir vous montrer bientôt (il ne me manque plus qu'à faire les coutures, comme d'habitude).


Marie Poule

vendredi 21 août 2009

Tunique col mao

Me voilà de retour de Thaïlande, j'ai pas mal de choses à vous montrer comme du tissu ramené de là-bas, des sarouels en pagaille cousus avant de partir, une tunique col mao et ma robe à pois, déjà entrevue mais qui ne sera révélée que le 28 août.

Revenons sur la tunique : il s'agit du modèle 4 d'un livre japonais : le n° 1 sur le site des JCA.
Je l'ai faite en lin très léger, bleu très clair avec des très fines rayures, acheté chez Toto.

Les manches normalement sont trois-quarts, mais comme il y a un certain nombre de moustiques en thailande, je les ai rallongées. Je l'ai coupée en taille 11 pour la poitrine et les manches, mais j'ai récintré le bas qui aurait été trop large. J'ai laissé aussi des fentes sur les côtés, parce que c'est joli et surtout parce que c'est plus pratique pour marcher.

Au final, je la trouve très jolie, très ajustée, elle me tombe pile comme il faut, et même peut-être un peu trop. disons que je me sens un peu habillée dedans. Est-ce pour ça que je pause dedans alors qu'elle n'est pas repassée, histoire de faire un peu moins habillée ? Pour ma défense, j'ai enfilé hier, alors qu'il faisait 38°, un jean juste pour la photo, alors repasser en plus la tunique, non merci. Promis, je remplacerai dès que possible cette photo par d'autres prises avec la tunique repassée et je vous montrerai un peu plus de détails.

à très bientôt !

K&B

mardi 11 août 2009

Une poule et deux coqs dans une photocabine

L'autre jour, quand je montrais mes expériences dans une photocabine, Gallinacée (qui me connait bien) me demandait si je ne m'étais pas prise en photo avec mon coq.
Bien sûr que si, un coq et même deux. Mais je n'avais pas montré ces photos pour respecter mon intimité. Tant pis, cette fois-ci je dévoile tout : mon identité, l'identité de mon coq et même l'identité d'un deuxième coq qui passait par là.
Pour ceux qui voudraient tester le gadget photocabine est là.

Marie Poule

Tongs - épisode 2

L'épisode 1 est .

L'épisode 2 ici ...
... avant finitions. Et une deuxième paire est en cours avec du coton mercerisé bien plus fin.

L'épisode 3 : voir MP qui a une super collection d'aiguilles à tout faire, et qui a commencé sa collection de laines par de la laine idoine (quel chemin parcouru depuis!).

lundi 10 août 2009

Quelques idées tricot

Matinée pluvieuse = Matinée à traînailler sur internet...

Toujours à la recherche de modèles pour mes laines, j'ai trouvé quelque chose de pas mal pour les soirées froides d'hiver.

Et un autre modèle idéale pour se protéger des regards indiscrets quand on utilise un ordinateur portable.











Est-ce que cela vous tente ?


Marie Poule

dimanche 9 août 2009

Une poule dans une photocabine

Après-midi pluvieuse = Après-midi à traînailler sur internet...

Je cherchais, avec la même difficulté de toujours, des modèles pour mes laines (de plus en plus nombreuses, est-ce que je vais oser vous montrer tout ça ?)... mais j'ai plutôt trouvé un gadget rigolo (en tout cas je me suis bien amusée avec !).
Celles et ceux qui ont connu les photos avant le numérique, à savoir peu de poules de ce poulailler (oui, oui, je n'ai pas oublié que toutes les poules de ce blog ne sont pas nées la même année que moi), se souviendront de ces photos foireuses dans les photocabines d'une autre époque. On n'avait pas le droit à l'erreur, chacune des quatre prises était la bonne. Et malheureusement ça allait trop vite, le flash nous surprenait toujours dans les pires moments, les photos étaient souvent floues, mal cadrées... la vrai aventure !
Pour les nostalgiques voici l'adresse de ce gadget photocabine.

Et pour montrer ce que ça donne une poule dans une photocabine, voici quelques cliches pris dans le vif de l'action (tant pis pour mon identité, elle est définitivement dévoilée avec ces photos).


Marie Poule